Affichant un taux d’esters compris entre 200 et 300 grammes par hectolitre d’alcool pur, ce vénérable Clarendon se décompose en trois étapes de dégustation bien distinctes. Le nez tout d’abord, qui se révèle à la fois miellé, fruité, floral et légèrement médicinal. La bouche ensuite, qui prend des accents empyreumatiques on ne peut plus jamaïcain . Et enfin, la finale, qui repart en territoire fruité, floral et miellé afin de boucler la boucle.